Une rencontre avec Dominique Monami, tennis woman

Un début de parcours dans le tennis plutôt atypique

Dès le départ, Dominique était une jeune fille ambitieuse et disciplinée. Elle a suivi son cursus scolaire dans un établissement tout à fait normal. A cette époque, il n’y avait pas de formation sportive dans l’enseignement francophone. Elle se devait donc d’exceller aux 2 niveaux. Elle commence ses compétitions de tennis à 15 ans.

Ainsi, elle devait jongler entre ses cours et le tennis avec des horaires prédéfinis. Ses cours ne lui permettaient pas de voyager pour ses compétitions. Commence les tournois de dames à partir de 17-18 ans, elle gagne 5 tournois d’affiler- 300 premières mondiales!

Montait très fortement dans le classement, fini ses études en juin 91 et en aout elle fait un US Open. Son premier grand chelem était à 18 ans (devient pro) US Open, atteint le 3ème tour

« Je me donne 2 ans sinon j’arrête le tennis »

 

Un challenge qu’elle s’était donnée à ses 17 ans…  entrer dans le top 100 mondiales de joueuse de tennis. Un défi qu’elle a gagné seulement 6 mois après. Elle entre dans le top 100 à 18 ans.

Elle monte rapidement dans les échelons, après avoir fini ses études en juin 91, elle accélère donc son implication dans les compétions et arrive aux U.S. Open. A l’Open d’Australie en août 1991, elle arrive au 8ème de finale et se place dans le top 70 des meilleurs mondiaux.

 

Une vision à long terme

 

Une carrière fulgurante qui a duré 10 ans de sa vie. Avec des hauts et des bas, elle avait une main de maître en compétition ce qui lui a valu des titres et une bonne place mondiale. Mais la pression devenait trop forte et ne se plaisait plus dan le jeu. C’est pourquoi à ses 27 ans, elle décide d’arrêter sa carrière de tennis woman laissant sa 18e place au classement mondial remis en compétition.

Monami est une femme qui se projette souvent à long terme, une stratège. 3 ans après cette fin de carrière, , elle se lance dans le coaching.

La question que l’on se pose c’est pourquoi n’est-elle pas devenue entraîneur : « Ce n’est pas parce que tu es une bonne joueuse que tu seras une bonne entraineuse » dit-elle car elle n’a pas, selon elle, ce côté pédagogique!

Cette reconversion lui permet d’être appliquée dans cette nouvelle filière. Elle a du se former, s’inspirer, chercher à comprendre et surtout se certifié. Ce qui lui a donné l’opportunité de sortir des frontières belges et d’aller vers l’inconnu, en France, là où, selon elle, elle pouvait partager ses challenges sans être jugé suite à sa notoriété.

Son challenge ? Passer du statut d’ancienne athlète à coach en entreprise

Recherche du bonheur- psychologue

 

« Je l’ai fait »

 

Après sa retraite préméditée, elle devient enceinte de sa seule fille et doit trouver un nouvel équilibre.

  • Qu’est-ce que les expériences lui ont apprises ?

Forger son caractère, une perception de la vie positive- découverte de soi- sociale- pas peur des cultures

  • Ses talents?

Parler en public, donner de l’énergie aux autres, par l’humour je fais passer beaucoup de message, structurée/de la discipline (claires- précises)

  • 3 conseils pour être un bon athlète d’entreprise bien gérer son entreprise:

Bien écouter son corps

Prendre plaisir dans ce qu’on fait

Bien utiliser les contacts sociaux d’énergie positive pour apprendre (feedback) et d’aider à grandir

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Son prochain objectif: être coach en résilience mentale et se forme sur le disque (tapas) avec les drivers

coach en conférence et workshop

Objectifs en 2019 : faire plus de coaching individuel

Retrouvez-la à notre conférence de janvier

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